L'an passé, on nous avait expliqué qu'on commencerait à être des médecins quand on verrait en chaque personne dans le métro un problème. Une marche particulière, une coloration, un bouton, n'importe quoi. Je commence à avoir cette analyse. Je deviens quelqu'un?
Dimanche 23 janvier 2011 à 16:49
L'an passé, on nous avait expliqué qu'on commencerait à être des médecins quand on verrait en chaque personne dans le métro un problème. Une marche particulière, une coloration, un bouton, n'importe quoi. Je commence à avoir cette analyse. Je deviens quelqu'un?
Commentaires
Par Flotte le Mardi 25 janvier 2011 à 11:08
Pour moi, ça signifie ne plus savoir sortir de sa tête son travail.
Par Jeudi 27 janvier 2011 à 0:44
le Je plussoie Flotte.
Mais c'est aussi une bonne façon de continuer à stimuler ses bases.
Mais c'est aussi une bonne façon de continuer à stimuler ses bases.
Par Jeudi 27 janvier 2011 à 14:45
le Je crois, un peu plus maintenant qu'hier, qu'en s'engageant dans ces études là, on fait aussi ce choix d'une autre vie. Sortir la tête de son travail, c'est sûr, mais le métro n'est absolument pas un lieu adéquat. C'est la transition, entre chez nous et l'hôpital, c'est être entouré d'inconnus avec un vécu. C'est formidable, le métro. Mais on ne sort vraiment la tête de son travail que chez soi, entre amis, dans un bon bouquin... Pas dans des lieux publics confinés.
Par Jeudi 27 janvier 2011 à 19:30
le Il faut dire que j'aime personnellement observer les gens en train de vivre sans me poser de questions. Parce qu'on s'en pose déjà trop souvent. :)
Le métro, c'est pour moi l'un des moments de détente de la journée.
Le métro, c'est pour moi l'un des moments de détente de la journée.
Par Samedi 29 janvier 2011 à 0:15
le Voir en toute personne un "problème"... J'ai envie de réagir, pas contre ton blog ni toi, car j'aime beaucoup le projet de ce blog... Mais contre la "consigne" inspirée de la fac de médecine.
Faire de chaque personne un "problème", (ou un "cas"), je trouve cela un peu réducteur. J'ai été "un problème", à présent, je suis quelqu'un qui lutte et combat... C'est parfois problématique, il est vrai !
Faire de chaque personne un "problème", (ou un "cas"), je trouve cela un peu réducteur. J'ai été "un problème", à présent, je suis quelqu'un qui lutte et combat... C'est parfois problématique, il est vrai !
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